DOMICILE FIXE
« Maintenant il n’y a plus de rat », s’émerveille le petit George.
Gheorghe, 8 ans, a vécu la première moitié de sa vie dans la caravane d’un bidonville surnommé «Truillot» à Ivry-sur-Seine, en région Parisienne. Malgré les conditions de vie insalubres dans le camp, Gheorghe est toujours allé à l’école. Aujourd’hui il a un domicile fixe au village de l’espoir.
Logements provisoires
Après 4 ans d’existence, les 300 familles du camp on été expulsées en 2015. Certaines sont retournées en Roumanie, d’autres se sont installées sur un autre terrain ou ont été relogées provisoirement à l’hôtel. Une dizaine de familles, dont celle de Gheorghe, vit depuis presque 2 ans dans les maisons du « Village de l’espoir ». Elles doivent contribuer aux loyers et aux charges en fonction du montant de leurs revenus.
Des solutions alternatives
Pour l’association Sperentza, il y aurait pourtant des solutions alternatives au démembrement familial que ces propositions actuelles de relogement. Comme les constructions d’Eric, légères mobiles et moins coûteuses pour le contribuable : Des bungalows sanitaires roulant destinées aux familles qui vivent encore à la rue.
Pour voir la version courte diffusée sur le site du journal Le Monde :
Plus d’informations :
Association Sperentza : http://ivrymaville.ivry94.fr/9580-836…
Village de l’Espoir : http://ivrymaville.ivry94.fr/15228/le…
DOMICILE FIXE – Paroles de sans voix par reportercitoyen